Cliquez ici >>> 🩐 convention collective nationale production agricole et cuma

Le15 septembre dernier, les partenaires sociaux agricoles ont signĂ© la mise en place d’une convention collective nationale de la production agricole et des CUMA. Ce dispositif, qui entrera en vigueur le 1er avril prochain, vient etou professionnel, sous rĂ©serve du respet des dispositions d’ordre pu li lĂ©gal ou onventionnel et le as Ă©chĂ©ant, dans le cadre prĂ©alablement dĂ©fini par la prĂ©sente convention collective ou par les accords applicables Ă  la branche Production agricole et Ă  la branche CUMA (accords de branches et interbranche agricole). Ces lesactivitĂ©s professionnelles de la branche professionnelle Production agricole et de la branche professionnelle CUMA. Par cette convention collective nationale, elles souhaitent donner une nouvelle dimension au dialogue social de ces secteurs professionnels. Toutefois, elles tiennent Ă  appliquela convention collective nationale Production Agricole / CUMA du 15 septembre 2020. Par application de l’article L. 2232-21 du Code du travail, la prĂ©sente sociĂ©tĂ©, dĂ©pourvue de dĂ©lĂ©guĂ© syndical, et dont l’effectif habituel est infĂ©rieur Ă  11 salariĂ©s, a dĂ©cidĂ© de soumettre Ă  son personnel un projet d’accord dont l’objet est dĂ©fini ci-dessous. LaFĂ©dĂ©ration des Cuma 640; Quelques Chiffres; Principales activitĂ©s du territoire 640; Cartographie des CUMA et GE; ActualitĂ©s; EvĂšnements; Emploi. L'actualitĂ© de l'emploi. Embaucher un salariĂ©; La durĂ©e lĂ©gale du travail; La durĂ©e maximale du travail; Les accords complĂ©mentaires santĂ© et prĂ©voyance; Les conventions collectives Au Plaisir De Vous Y Rencontrer. » Actuellement, les conditions de travail des salariĂ©s de la production agricole et des Cuma coopĂ©ratives d’utilisation de matĂ©riel agricole relĂšvent d’accords territoriaux conventions collectives dĂ©partementales ou rĂ©gionales et d’accords professionnels. À compter du 1er avril 2021, tous ces salariĂ©s se verront appliquer une convention collective nationale, permettant en particulier une harmonisation de leur classification et des salaires minima. Qui est concernĂ© ? Cette nouvelle convention collective nationale s’adresse, sur l’ensemble du territoire français – aux entreprises et exploitations ayant une activitĂ© de culture ou d’élevage ;– aux Ă©tablissements dirigĂ©s par un exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement et de la commercialisation des produits agricoles lorsque ces activitĂ©s constituent le prolongement de l’acte de production ;– aux structures d’accueil touristique, notamment d’hĂ©bergement et de restauration ;– aux Ă©tablissements de pisciculture et Ă  la pĂȘche Ă  pied professionnelle ;– aux Cuma. DĂšs lors, elle ne s’applique pas aux entreprises de travaux agricoles, ruraux et forestiers, aux centres Ă©questres, aux entraĂźneurs de chevaux de course, aux champs de courses, aux parcs zoologiques et aux Ă©tablissements de conchyliculture. Que contient-elle ? La convention contient plusieurs avancĂ©es sociales s’agissant notamment du travail du nuit, du temps de dĂ©placement ou encore des indemnitĂ©s de dĂ©part Ă  la retraite. Mais son apport majeur est l’instauration de grilles de classification des emplois et de salaires minima. Une classification Ă©tablie sur la base de 5 critĂšres la technicitĂ©, l’autonomie, la responsabilitĂ©, le management et le relationnel. Et pour aider les employeurs Ă  s’y retrouver, plusieurs outils outil de classification, pack pĂ©dagogique
 sont mis Ă  leur disposition sur le site En complĂ©ment pour connaĂźtre les dispositions des accords territoriaux et professionnels qui continuent Ă  s’appliquer, les employeurs peuvent solliciter leur FĂ©dĂ©ration DĂ©partementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles FDSEA. ArrĂȘtĂ© du 2 dĂ©cembre 2020, JO du 10 janvier 2021 Convention collective nationale Production agricole/Cuma, 15 septembre 2020 © 2021 Les Echos Publishing - Coralie Carolus Mar 09, 2021 Actuellement, les conditions de travail des salariĂ©s de la production agricole et des Cuma coopĂ©ratives d’utilisation de matĂ©riel agricole relĂšvent d’accords territoriaux conventions collectives dĂ©partementales ou rĂ©gionales et d’accords professionnels. À compter du 1er avril 2021, tous ces salariĂ©s se verront appliquer une convention collective nationale, permettant en particulier une harmonisation de leur classification et des salaires minima. Qui est concernĂ© ? Cette nouvelle convention collective nationale s’adresse, sur l’ensemble du territoire français - aux entreprises et exploitations ayant une activitĂ© de culture ou d’élevage ;- aux Ă©tablissements dirigĂ©s par un exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement et de la commercialisation des produits agricoles lorsque ces activitĂ©s constituent le prolongement de l’acte de production ;- aux structures d’accueil touristique, notamment d’hĂ©bergement et de restauration ;- aux Ă©tablissements de pisciculture et Ă  la pĂȘche Ă  pied professionnelle ;- aux Cuma. DĂšs lors, elle ne s’applique pas aux entreprises de travaux agricoles, ruraux et forestiers, aux centres Ă©questres, aux entraĂźneurs de chevaux de course, aux champs de courses, aux parcs zoologiques et aux Ă©tablissements de conchyliculture. Que contient-elle ? La convention contient plusieurs avancĂ©es sociales s’agissant notamment du travail du nuit, du temps de dĂ©placement ou encore des indemnitĂ©s de dĂ©part Ă  la retraite. Mais son apport majeur est l’instauration de grilles de classification des emplois et de salaires minima. Une classification Ă©tablie sur la base de 5 critĂšres la technicitĂ©, l’autonomie, la responsabilitĂ©, le management et le relationnel. Et pour aider les employeurs Ă  s’y retrouver, plusieurs outils outil de classification, pack pĂ©dagogique
 sont mis Ă  leur disposition sur le site En complĂ©ment pour connaĂźtre les dispositions des accords territoriaux et professionnels qui continuent Ă  s’appliquer, les employeurs peuvent solliciter leur FĂ©dĂ©ration DĂ©partementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles FDSEA. ArrĂȘtĂ© du 2 dĂ©cembre 2020, JO du 10 janvier 2021 Convention collective nationale Production agricole/Cuma, 15 septembre 2020 Copyright Les Echos Publishing – 2020 La convention collective nationale de la production agricole et des Cuma entrera en application en 2021. PrĂ©cisĂ©ment, au premier jour du trimestre civil suivant la publication de son arrĂȘtĂ© d'extension au Journal Officiel. Soit le 1er janvier si celui-ci est publiĂ© au plus tard le 31 dĂ©cembre 2020 ou Ă  compter du 1er avril si la publication est postĂ©rieure. Le principal changement de la nouvelle convention collective nationale est la mise en place d'une grille de classification des emplois et d'une grille de salaires nationales. Celles-ci s'appliqueront aux nouveaux salariĂ©s dans l'entreprise, mais aussi Ă  ceux dĂ©jĂ  en poste. CrĂ©dit Auremar - DĂšs 2021, les exploitations agricoles qui embauchent des salariĂ©s devront appliquer partout en France une seule et mĂȘme convention collective celle dite de la production agricole et des Cuma » signĂ©e entre la FNSEA, la FNCuma et les organisations syndicales de salariĂ©s CFDT, CFTC, CGC, CGT, FO. Elle concerne les exploitations de culture et d'Ă©levage ; les Ă©tablissements de toute nature dirigĂ©s par l'exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement, de la commercialisation de produits agricoles dans le prolongement de l'acte de production ; les structures d'accueil touristique en lien direct avec l'exploitation ; les coopĂ©ratives d'utilisation du matĂ©riel agricole. Elle s'applique Ă©galement aux Ă©tablissements de pisciculture. A la veille de sa mise en application, voici les rĂ©ponses aux principales questions concernant cette convention collective avec Pascal Servier, prĂ©sident de la commission emploi formation Ă  la FRSEA Auvergne-RhĂŽne-Alpes et Luc Pierron, membre de cette commission, qui a participĂ© au groupe de travail FNSEA sur le sujet. Pascal Servier, prĂ©sident de la commission emploi formation de la FRSEA Auvergne-RhĂŽne-Alpes et Ă©leveur en transformation fromagĂšre dans le Puy-de-DĂŽme. CrĂ©dit Pamac 1 - Pourquoi une convention collective nationale ? C'Ă©tait une volontĂ© des gouvernements successifs de restructurer le paysage conventionnel et de diminuer le nombre de conventions collectives dans tous les secteurs d'activitĂ© », rappelle Pascal Servier. En France, il existait plus de 140 conventions collectives applicables aux entreprises agricoles, souvent Ă©tablies Ă  l'Ă©chelle des dĂ©partements. Cette multitude d'accords territoriaux n'Ă©tait peut-ĂȘtre plus en cohĂ©rence avec le terrain. Certains accords jouaient d'une histoire longue, autour d'Ă©vĂšnements qui ont amenĂ© les nĂ©gociateurs Ă  ces solutions mais qui aujourd'hui n'Ă©taient pas Ă  la hauteur des enjeux pour notre agriculture », poursuit le prĂ©sident de la commission emploi formation Ă  la FRSEA Aura. Cette convention clarifie aussi un certain nombre de choses car aujourd'hui l'agriculture ne se discute plus seulement par dĂ©partement ou par filiĂšre. Nous avions besoin de cette harmonisation pour que les employeurs sur les territoires aient le mĂȘme langage et qu'ils aient la lisibilitĂ© nĂ©cessaire sur les emplois qu'ils dĂ©finiront demain », indique Pascal Servier. 2 - Qu'est ce qui change dĂšs l'entrĂ©e en application de la convention nationale ? Le principal changement, c'est la mise en place d'une grille de classification des emplois et d'une grille de salaires nationales. Celles-ci s'appliqueront aux nouveaux salariĂ©s dans l'entreprise, mais aussi Ă  ceux dĂ©jĂ  en poste. Jusqu'Ă  prĂ©sent les salaires sur nos exploitations Ă©taient Ă©tablis Ă  partir de niveaux et d'Ă©chelons. DĂ©sormais nous allons fonctionner par palier, avec une classification des emplois basĂ©e sur les compĂ©tences et donc des critĂšres qui vont nous permettre de classer ces compĂ©tences », prĂ©cise Luc Pierron. Luc Pierron, membre de la commission emploi formation de la FRSEA Auvergne-RhĂŽne-Alpes et viticulteur dans le RhĂŽne. Il a participĂ© au groupe de travail FNSEA sur la nouvelle CCN. CrĂ©dit Information agricole du RhĂŽne 3 - En quoi consiste la classification des emplois ? Les employeurs qui ont participĂ© aux groupes de travail de la FNSEA ont pu dĂ©finir collectivement des critĂšres qui sont universels la technicitĂ©, l'autonomie, la responsabilitĂ©, le management et le relationnel », explique Luc Pierron. A chacun de ces critĂšres correspondent, dans la convention collective, des degrĂ©s et des points qui vont permettre de dĂ©terminer le coefficient de l'emploi occupĂ© par le salariĂ© et son niveau de rĂ©munĂ©ration. C'est donc l'Ă©tape la plus importante Ă  laquelle les employeurs doivent s'attacher dĂšs Ă  prĂ©sent Ă©tablir la classification des diffĂ©rents emplois sur l'exploitation selon ces nouveaux critĂšres. Luc Pierron invite les exploitants Ă  saisir l'opportunitĂ© offerte par cette classification. Elle va permettre de faire un point sur toutes les compĂ©tences dont nous avons besoin sur nos exploitations. Une fois que nous aurons rĂ©alisĂ© ce travail de classification, les choses seront plus simples, notamment quand il s'agira de remplacer, d'accueillir une nouvelle personne sur le poste », estime-il. Il recommande Ă©galement de classifier les emplois sur la base des missions les plus courantes, celles que le poste exige de maniĂšre rĂ©guliĂšre, pas sur des tĂąches ponctuelles ou exceptionnelles. 4 - Quelles consĂ©quences aura cette classification ? Une fois la classification de l'emploi rĂ©alisĂ©e, elle permettra d'obtenir le coefficient de l'emploi et de dĂ©terminer Ă  quel palier Ă©tablir le salaire minimum pour un poste donnĂ©. Les salariĂ©s dĂ©jĂ  en poste devront donc faire l'objet d'un repositionnement dans la grille nationale de classification. Il n'y aura en effet pas de concordance entre les anciennes grilles dĂ©partementales et la grille nationale. Si le nouveau classement devait conduire Ă  une rĂ©munĂ©ration horaire infĂ©rieure, le salariĂ© conservera le bĂ©nĂ©fice de sa rĂ©munĂ©ration actuelle. L'objectif de cette nouvelle convention, c'est vraiment de valoriser les compĂ©tences requises par l'emploi valoriser la personne mais au travers du poste qu'elle occupe et favoriser son Ă©volution professionnelle », explique Luc Pierron. 5 - Que deviennent les conventions collectives locales ? On n'en compte pas moins de douze en Auvergne RhĂŽne-Alpes1 s'appliquant soit Ă  l'Ă©chelon dĂ©partemental, soit Ă  l'Ă©chelon RhĂŽne-Alpes pour les cadres. DĂšs son entrĂ©e en application, c'est la convention collective nationale qui prend le pas sur les accords territoriaux. Elle devient alors la rĂ©fĂ©rence en matiĂšre de classification des emplois et de grille de salaire. Pour le reste, les accords locaux continuent de s'appliquer s'ils sont plus favorables pour le salariĂ© », souligne Luc Pierron. Et aprĂšs ? Demain la discussion va s'ouvrir pour savoir si nous devons maintenir, amĂ©liorer ou modifier toutes ces lignes. L'enjeu, c'est de donner une cohĂ©rence par rapport Ă  l'exigence des mĂ©tiers et aussi par rapport Ă  la vision que les salariĂ©s ont du travail dans lequel ils Ă©voluent. Il y aura peut-ĂȘtre aussi des questionnements sur des spĂ©cificitĂ©s dans certaines filiĂšres », reconnaĂźt Pascal Servier. Mais il conclut L'avantage de cette convention nationale, c'est qu'elle nous ouvre un nouveau champ de discussion avec les organisations syndicales de salariĂ©s. Cela ne peut qu'ĂȘtre bĂ©nĂ©fique pour aller vers une rĂ©elle adaptation aux besoins des diffĂ©rents mĂ©tiers en agriculture ». 6 - Vers qui se tourner pour ĂȘtre accompagnĂ© dans ses dĂ©marches ? Les employeurs peuvent se tourner dĂšs maintenant vers leur fĂ©dĂ©ration dĂ©partementale ou leurs reprĂ©sentants employeurs pour prendre connaissance et ne pas ĂȘtre surpris par la mise en application de cette convention collective », conseille Pascal Servier. Luc Pierron se veut Ă©galement rassurant Tout changement est perturbant bien sĂ»r. Mais les employeurs seront aidĂ©s et il y aura un temps d'adaptation ». 1. En Franche-ComtĂ©, il existe un accord rĂ©gional unique qui s'applique aux exploitations agricoles, Cuma et entreprises de travaux agricoles et forestiers. En SaĂŽne-et-Loire, un accord dĂ©partemental concerne les exploitations agricoles. Accord d'entreprise sur le traitement social des heures supplĂ©mentaires Application de l'accordDĂ©but 01/08/2022 Fin 01/01/2999 SociĂ©tĂ© SCEA DE RAVAILHE Le 13/07/2022SystĂšme de rĂ©munĂ©ration autres qu'Ă©volutionHeures supplĂ©mentaires contingent, majorationACCORD D’ENTREPRISE1°/ La SociĂ©tĂ© SCEA RAVAILHESociĂ©tĂ© civile d’exploitation agricole au capital de eurosCode APE 0121Zdont le siĂšge social Ă  Senouillac 81600 - Ravailhe, ImmatriculĂ©e auprĂšs de la MSA TARN AVEYRON sous le numĂ©ro 37955254000013, Ladite SociĂ©tĂ© reprĂ©sentĂ©e par Monsieur 
agissant en sa qualitĂ© de GĂ©rantD’une part,ET2°/ Le membre titulaire du comitĂ© social et Ă©conomique reprĂ©sentant la majoritĂ© des suffrages exprimĂ©s lors des derniĂšres Ă©lections professionnelles selon procĂšs-verbal des Ă©lections en date du 17 janvier 2020 annexĂ© aux prĂ©sentes, ci-aprĂšs Monsieur 
D’autre part,ET APRES AVOIR EXPOSE La sociĂ©tĂ© RAVAILHE exerce une activitĂ© agricole de culture de la vigne et applique dans ce cadre les dispositions lĂ©gales du code rural et de la pĂȘche maritime dispositions particuliĂšres,du code du travail dispositions gĂ©nĂ©rales, mais Ă©galement les dispositions conventionnelles Ă©tendues dĂšs lors et tant qu’elles lui demeurent opposables de la convention collective nationale de la production agricole et CUMA du 15 septembre 2020, des accords nationaux de l’agriculture, dont l’accord national du 23 dĂ©cembre 1981 modifiĂ© relatif Ă  la durĂ©e du travail dans les exploitations et entreprises agricoles, ainsi que celles de la convention collective des exploitations agricoles du Tarn du 6 mai 2002. Le contingent annuel d’heures supplĂ©mentaires, indirectement prĂ©vu par lesdites dispositions conventionnelles, se relĂšve ĂȘtre inadaptĂ© aux besoins et Ă  la nature de l'activitĂ© de l'entreprise, le rythme de travail de la sociĂ©tĂ© RAVAILHE Ă©tant fortement impactĂ© par les pics d'activitĂ© liĂ©s aux cycles saisonniers de la vigne,ce d’autant plus considĂ©rant la pĂ©nurie actuelle de certaines catĂ©gories de personnel sur le marchĂ© de l’emploi de sorte que la sociĂ©tĂ© RAVAILHE ne parvient pas Ă  satisfaire Ă  un besoin temporaire de main d’Ɠuvre sur les pĂ©riodes des pics d’activitĂ© liĂ©s aux cycles que les salariĂ©s comptant parmi les effectifs de l’entreprise sont volontaires pour travailler au-delĂ  de 39 heures hebdomadaires. L'activitĂ© de la sociĂ©tĂ© RAVAILHE nĂ©cessite donc que le personnel salariĂ© accomplisse des heures supplĂ©mentaires au-delĂ  de ce contingent conventionnel. En application de l’article L2232-23-1 du Code du Travail, et afin de faciliter et sĂ©curiser le recours aux heures supplĂ©mentaires, la sociĂ©tĂ© RAVAILHE a proposĂ© au membre titulaire du comitĂ© social et Ă©conomique d’adopter un contingent d’heures supplĂ©mentaires supĂ©rieur Ă  celui prĂ©vu par les dispositions lĂ©gales ainsi que les dispositions conventionnelles de l’accord national du 23 dĂ©cembre 1981 modifiĂ© et de la Convention collective des exploitations agricoles du Tarn. A l’issue de nĂ©gociations qui se sont dĂ©roulĂ©es en toute indĂ©pendance et de bonne foi, la sociĂ©tĂ© RAVAILHE et le membre titulaire du comitĂ© social et Ă©conomique, ont entendu formaliser leur accord dans le cadre des A ETE NEGOCIE, CONVENU ET ARRETE CE QUI SUIT A titre d’ACCORD D’ENTREPRISE relatif au contingent d’heures supplĂ©mentairesArticle I - CHAMP D’APPLICATIONI-1 Les dispositions du prĂ©sent accord ont vocation Ă  s’appliquer Ă  l’ensemble des salariĂ©s de l’entreprise qui exercent leur activitĂ© Ă  temps complet et dont la durĂ©e du temps de travail est dĂ©comptĂ©e en heures. Les salariĂ©s concernĂ©s sont ceux exerçant leur activitĂ© dans tous les Ă©tablissements actuels ou futurs de la sociĂ©tĂ©, qu’ils soient embauchĂ©s en contrat Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e ou dĂ©terminĂ©e. Dans l’hypothĂšse oĂč l’entreprise ferait appel Ă  des salariĂ©s intĂ©rimaires ou Ă  un Groupement d’Employeurs, les salariĂ©s ainsi mis Ă  la disposition de l’entreprise seront soumis au prĂ©sent accord. Sont exclus les salariĂ©s suivants Les cadres dirigeants, au sens de l’article L3111-2 du Code du travail, qui sont exclus de la rĂ©glementation relative Ă  la durĂ©e du travail, Les salariĂ©s autonomes en forfaits annuels jours qui ne sont pas rĂ©munĂ©rĂ©s en heures, Les salariĂ©s Ă  temps partiel qui ne sont pas soumis au rĂ©gime des heures supplĂ©mentaires. I-2 Pour toutes les dispositions du prĂ©sent accord qui se trouveraient en concurrence avec les dispositions de la convention collective nationale de la production agricole et CUMA, de l’accord national du 23 dĂ©cembre 1981 modifiĂ©, ainsi que de la convention collective des exploitations agricoles du Tarn, les parties dĂ©clarent donner la primautĂ© au prĂ©sent accord, conformĂ©ment aux dispositions de l’article L2253-3 du Code du accord se substitue aux dispositions ayant le mĂȘme objet des accords collectifs et des conventions collectives applicables Ă  la sociĂ©tĂ© RAVAILHE en application de l’ordonnance n°2017-1385 du 22 septembre 2017 et du dĂ©cret d’application n°2017-1767 du 26 dĂ©cembre II - PRINCIPE ET MODALITES DE RECOURS AUX HEURES SUPPLEMENTAIRES Constituent des heures supplĂ©mentaires, les heures de travail accomplies au-delĂ  de la durĂ©e lĂ©gale de travail, fixĂ©e Ă  ce jour Ă  35 heures par semaine. Seules seront considĂ©rĂ©es comme des heures supplĂ©mentaires, celles effectuĂ©es Ă  la demande de l’employeur et non celles effectuĂ©es de la propre initiative des salariĂ©s sans accord prĂ©alable. Les heures supplĂ©mentaires sont dĂ©comptĂ©es Ă  la fin de chaque semaine civile, soit du lundi 0 heure au dimanche 24 les heures accomplies dans les conditions prĂ©citĂ©es et au-delĂ  de la durĂ©e lĂ©gale hebdomadaire ouvriront droit Ă  rĂ©munĂ©ration. Il est rappelĂ© que les heures supplĂ©mentaires ne pourront ĂȘtre accomplies que dans le respect des limites maximales fixĂ©es par la loi, Ă  savoir La durĂ©e maximale quotidienne de travail effectif ne pourra excĂ©der 10 heures, sauf cas exceptionnels, La durĂ©e de travail sur une mĂȘme semaine ne pourra pas dĂ©passer 48 heures,La durĂ©e hebdomadaire moyenne ne pourra pas excĂ©der 44 heures sur une pĂ©riode de 12 mois sociĂ©tĂ© RAVAILHE pourra demander Ă  l’Inspecteur du travail l’autorisation de dĂ©passer cette durĂ©e maximale absolue en cas de circonstances exceptionnelles et sans pouvoir dĂ©passer en moyenne 60 heures par semaine au cours de 12 mois consĂ©cutifs art. L713-13 et R713-13 du code rural et de la pĂȘche maritime. La majoration et les autres compensations Ă©ventuelles des heures supplĂ©mentaires effectuĂ©es de la 49e Ă  la 60e seront dĂ©terminĂ©es par l’autorisation accordĂ©e et aprĂšs dĂ©rogation obtenue auprĂšs de l’Inspecteur du Travail. Article III - MAJORATION ET REMUNERATION DES HEURES SUPPLEMENTAIRES III-1 La majoration des heures supplĂ©mentaires Les heures supplĂ©mentaires, telles que dĂ©finies Ă  l’article II du prĂ©sent accord, sont majorĂ©es de la maniĂšre suivante 25 % pour les heures accomplies entre la 36Ăšme et la 43Ăšme heure hebdomadaire, 50 % pour les heures accomplies Ă  partir de la 44Ăšme heure. III-2 Sur le traitement social des heures supplĂ©mentairesLes heures supplĂ©mentaires effectivement rĂ©alisĂ©es, et les majorations y affĂ©rentes, sont payĂ©es ou remplacĂ©es en totalitĂ© par un repos compensateur de remplacement dans les conditions suivantes De la 36Ăšme Ă  la 43Ăšme heure1° Ces heures sont rĂ©munĂ©rĂ©es Ă  la fin du mois au cours duquel elles ont Ă©tĂ© effectuĂ©es, en tenant compte de la majoration applicable 25% A partir de la 44Ăšme heure2° les heures supplĂ©mentaires Ă©ventuellement effectuĂ©es Ă  compter de la 44Ăšme heure sont remplacĂ©es par un repos compensateur de remplacement en lieu et place du paiement de l’heure et de sa majoration, dans la limite de 50 heures supplĂ©mentaires par annĂ©e civile 1er janvier – 31 dĂ©cembre.La durĂ©e du repos ainsi accordĂ©e tient compte de la majoration lĂ©gale que le salariĂ© aurait bĂ©nĂ©ficiĂ© si cette heure supplĂ©mentaire avait Ă©tĂ© rĂ©munĂ©rĂ©e 50%.À titre d’exemple la 44Ăšme heure supplĂ©mentaire effectuĂ©e au cours d’une semaine donne lieu, si elle est intĂ©gralement rĂ©cupĂ©rĂ©e, Ă  un repos de 1 heure et 30 repos de remplacement est ouvert dĂšs lors que le salariĂ© comptabilise 7 heures de repos ou l’équivalent d’une journĂ©e de travail effectif au regard de son est pris dans les conditions suivantes par journĂ©e entiĂšre ou, en accord avec son employeur, par demi-journĂ©e, Ă©tant prĂ©cisĂ© que le repos pris doit correspondre au nombre d’heures de travail que le salariĂ© aurait effectuĂ©es pendant cette journĂ©e ou demi-journĂ©e, une rĂ©gularisation intervenant en fin d’annĂ©e civile,ce repos est pris par le salariĂ© obligatoirement dans un dĂ©lai maximum de 12 mois suivant l’ouverture du droit ;le salariĂ© adresse sa demande Ă  l’employeur au moins 7 jours calendaires Ă  l’avance en y prĂ©cisant la date et la durĂ©e du repos ; les jours de repos ne pourront pas ĂȘtre pris entre le 1er mai et le 31 octobre de chaque annĂ©e civile, ni accolĂ©s Ă  la fin d’une pĂ©riode de congĂ©s payĂ©s ou Ă  des jours ou heures de rĂ©cupĂ©ration de quelque nature que ce soit sauf accord de la direction et selon les besoins du service, compte-tenu des impĂ©ratifs et obligations de la sociĂ©tĂ©, qui seront notifiĂ©es Ă  l’intĂ©ressĂ©, l’attribution du repos compensateur de remplacement pourra ĂȘtre diffĂ©rĂ©e, l’employeur et le salariĂ© arrĂȘtant d’un commun accord une nouvelle date,l’absence de demande de prise de ce repos par le salariĂ© ne peut pas entrainer la perte de son droit Ă  repos. Aussi, la sociĂ©tĂ© RAVAILHE examinera les droits Ă  repos acquis par son personnel au titre de l’annĂ©e N-1 *au mois de juin de l’annĂ©e N chaque salariĂ© aura la possibilitĂ© de demander que le solde de ces droits Ă  repos N-1 soit affectĂ©, dans la limite lĂ©gale autorisĂ©e 10 jours par an, au plan d’épargne retraite collectif mis en place au bĂ©nĂ©fice des salariĂ©s au sein de l’entreprise ;*au mois d’octobre de l’annĂ©e N pour le solde des droits Ă  repos N-1 non affectĂ© au plan d’épargne retraite collectif, la sociĂ©tĂ© demandera au salariĂ© de prendre effectivement son droit Ă  repos N-1 dans un dĂ©lai maximum de 2 mois au plus tard le 31 dĂ©cembre N ;les salariĂ©s seront tenus rĂ©guliĂšrement informĂ©s de nombre d’heures de repos portĂ©es Ă  leur crĂ©dit, mois par mois, par un document annexĂ© Ă  leur bulletin de paie, comprenant les droits acquis au titre de la pĂ©riode de paie considĂ©rĂ©e, mais Ă©galement les droits au-delĂ  de la limite de 50 heures supplĂ©mentaires par annĂ©e civile rĂ©alisĂ©es Ă  partir de la 44 -Ăšme heure, toutes les heures supplĂ©mentaires effectuĂ©es font l’objet d’une rĂ©munĂ©ration Ă  la fin du mois au cours duquel elles ont Ă©tĂ© effectuĂ©es, en tenant compte de la majoration lĂ©gale applicable 50% Article IV - FIXATION DU CONTINGENT D’HEURES SUPPLEMENTAIRESLes parties conviennent de fixer Ă  400 heures la durĂ©e du contingent annuel d’heures supplĂ©mentaires applicable par salariĂ©, tel que dĂ©fini dans l’article I du prĂ©sent accord, au sein de la sociĂ©tĂ© RAVAILHE. La pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence pour calculer le contingent est l’annĂ©e civile, soit la pĂ©riode s’écoulant entre le 1er janvier et le 31 dĂ©cembre inclus de chaque contingent annuel d’heures supplĂ©mentaires est de plein droit applicable Ă  l’annĂ©e civile au cours de laquelle le prĂ©sent accord entre en vigueur, sans donner lieu Ă  sa rĂ©duction prorata temporis. De la mĂȘme maniĂšre, il s’applique intĂ©gralement aux salariĂ©s qui intĂšgrent l’entreprise en cours d’annĂ©e civile, sans donner lieu Ă  sa rĂ©duction prorata temporis, de sorte que chaque nouvel embauchĂ© dispose, dĂšs son entrĂ©e dans la sociĂ©tĂ© et quelle qu’en soit la date, d’un contingent annuel de 400 heures dispositions du prĂ©sent accord remplacent notamment les dispositions de l’article 7-4, 8-3, 8-4 de l’accord national du 23 dĂ©cembre 1981 et de l’article 54 de la convention collective des exploitations agricoles du VI - DISPOSITIONS FINALESV-1 Application et durĂ©e de l’accordLe prĂ©sent accord est conclu pour une durĂ©e indĂ©terminĂ©e. Il entrera en vigueur au 1er aoĂ»t 2022. V-2 RĂ©vision Chaque partie signataire ou adhĂ©rente ou nouveau reprĂ©sentant dĂ©signĂ© peut demander la rĂ©vision de tout ou partie du prĂ©sent accord selon les modalitĂ©s suivantes Toute demande de rĂ©vision devra ĂȘtre adressĂ©e par lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de rĂ©ception Ă  chacune des autres parties signataires ou adhĂ©rentes ou nouveau reprĂ©sentant ou dĂ©signĂ© et comporter, outre l’indication des dispositions dont la rĂ©vision est demandĂ©e, les propositions de plus rapidement possible et au plus tard dans un dĂ©lai de 3 mois suivant la rĂ©ception de cette lettre, les parties sus-indiquĂ©es devront ouvrir une dispositions de l’accord dont la rĂ©vision est sollicitĂ©e resteront en vigueur jusqu’à la conclusion d’un nouvel accord ou Ă  dĂ©faut seront maintenues en l’ dispositions de l’avenant portant rĂ©vision se substitueront de plein droit Ă  celles de l’accord qu’elles DĂ©nonciation L’accord pourra ĂȘtre dĂ©noncĂ© en totalitĂ© par l’une ou l’autre des parties signataires la sociĂ©tĂ© ou les membres titulaires du CSE reprĂ©sentant la majoritĂ© des suffrages exprimĂ©s lors des derniĂšres Ă©lections professionnelles selon les modalitĂ©s suivantes La dĂ©nonciation est notifiĂ©e par lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de rĂ©ception Ă  chacune des parties signataires et dĂ©posĂ©e par la partie la plus diligente auprĂšs de l’Administration du travail et du secrĂ©tariat du Greffe du Conseil des Prud’hommes. La durĂ©e du prĂ©avis sera fixĂ©e Ă  trois mois. Elle comportera obligatoirement une nouvelle proposition de rĂ©daction qui entraĂźnera pour toutes les parties signataires l’obligation de se rĂ©unir dans un dĂ©lai d’un mois suivant la rĂ©ception de la lettre de dĂ©nonciation et ce, en vue de dĂ©terminer le calendrier des les nĂ©gociations l’accord restera applicable sans aucun changement. A l’issue de ces derniĂšres, il sera Ă©tabli soit un avenant, soit un nouveau texte constatant l’accord intervenu, soit un procĂšs-verbal de clĂŽture constatant un dispositions du nouvel accord se substituent intĂ©gralement Ă  celles de l’accord dĂ©noncĂ© avec pour prise d’effet soit la date qui aura Ă©tĂ© expressĂ©ment convenue, soit Ă  dĂ©faut, Ă  partir du jour qui suivra le dĂ©pĂŽt auprĂšs du service Communication de l’accordUn exemplaire du prĂ©sent accord sera remis par la Direction de la sociĂ©tĂ© RAVAILHE aux reprĂ©sentants du personnel dans le respect des dispositions de l’article R. 2262-2 du code du outre, les salariĂ©s seront collectivement informĂ©s de l’accord nĂ©gociĂ© et conclu par voie d’affichage sur les panneaux rĂ©servĂ©s aux communications destinĂ©es au personnel, et il figurera sur la notice d’information remise Ă  l’embauche sur les textes conventionnels applicables dans l’entreprise, conformĂ©ment aux articles L. 2262-5, R. 2262-1 et R. 2262-3 du code du DĂ©pĂŽt et publicitĂ©Les formalitĂ©s de dĂ©pĂŽt seront effectuĂ©es par le reprĂ©sentant lĂ©gal de la sociĂ©tĂ© dernier dĂ©posera l’accord collectif sur la plateforme nationale "TĂ©lĂ©Accords" Ă  l’adresse suivante Sera joint Ă  cet envoi Ă©lectronique le procĂšs-verbal des Ă©lections du dĂ©posant adressera un exemplaire de l’Accord au secrĂ©tariat greffe du conseil de prud'hommes d’Albi en un exemplaire exemplaire du prĂ©sent accord sera envoyĂ© Ă  la Commission paritaire permanente de nĂ©gociation et d’interprĂ©tation de la production agricole et CUMA soit Ă  l'adresse postale suivante CPPNI, secrĂ©tariat de l’AFNCA, 11 rue de la Baume 75008 par mail Ă  l'adresse suivante secretariat Ă  SenouillacLe 13 juillet 2022En deux exemplaires originaux. Comprenant chacun 8 pagesPour la sociĂ©tĂ© RAVAILHEMonsieur 
 1Monsieur 
 1Signature prĂ©cĂ©dĂ©e de la mention manuscrite BON POUR ACCORD ». De plus, chaque page devra ĂȘtre paraphĂ©e par chacune des parties. 6 avril 2021 Patrimoine info Les employeurs et salariĂ©s de la production agricole et des CUMA ainsi que ceux des entreprises de travaux et de services agricoles, ruraux et forestiers ETARF ont dĂ©sormais leur propre convention collective nationale CCN. Ces deux conventions collectives nationales production agricole/CUMA et ETARF sont entrĂ©es en vigueur le 1-4-2021. Elles sont disponibles sur CCN production agricole/CUMA Sont concernĂ©s par cette nouvelle convention – les exploitations et entreprises agricoles ayant une activitĂ© de culture et d’élevage de quelque nature qu’elles soient ; – les Ă©tablissements de toute nature dirigĂ©s par l’exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement et de la commercialisation des produits agricoles lorsque ces activitĂ©s constituent le prolongement de l’acte de production ; – les structures d’accueil touristique, notamment d’hĂ©bergement et de restauration ; – les Ă©tablissements de pisciculture et les activitĂ©s de pĂȘche maritime Ă  pied professionnelle, sauf pour les personnes qui relĂšvent du rĂ©gime social des marins ; – les CUMA. La convention ne s’applique pas en revanche aux entreprises de travaux agricoles, ruraux et forestiers, aux centres Ă©questres, aux entraĂźneurs de chevaux de courses, aux champs de courses, aux parcs zoologiques et aux Ă©tablissements de conchyliculture. Le principal apport de cette convention est l’instauration d’une grille de salaire unique salaires minima et d’une classification des emplois Ă©tablie sur la base de 5 critĂšres la technicitĂ©, l’autonomie, la responsabilitĂ©, le management et le relationnel. CCN du 15-9-2020, Ă©tendue par arrĂȘtĂ© du 2-12-2020, JO du 10-1 CCN ETARF Sont concernĂ©Es par cette nouvelle convention – les entreprises de travaux et services agricoles et ruraux ; – les entreprises de travaux et services forestiers d’exploitation forestiĂšre, Ă  l’exception des exploitations forestiĂšres et scieries agricoles ; – les entreprises de travaux et services forestiers en sylviculture ; – les entreprises de prestations de services avicoles effectuant des travaux de mise en place ou d’enlĂšvement de volailles et des travaux d’intervention technique. La convention instaure une classification des emplois Ă  laquelle est associĂ©e une nouvelle grille de salaires minimum. Source CCN du 8-10-2020, Ă©tendue par arrĂȘtĂ© du 18-10-2020, JO du 16-2 © Copyright Editions Francis Lefebvre

convention collective nationale production agricole et cuma